La géobiologie pour les géobiologues et la formation magnétisme à Bourges

La géobiologie pour les géobiologues et la formation magnétisme à Bourges

9 juillet 2023 0 Par Joel

Les différents économistes et géobiologues à Bourges de l’école française se contentent, chacun à sa manière, d’étudier la valeur d’un objet uniquement dans sa phase pré-échange. Certes, l’utilité joue un rôle, quelque soit sa manière d’être appréhendée par le géobiologue. Mais les conceptions qui diffèrent de celle-ci, quelles soient française avec la théorie de Bastiat ou d’origine étrangère et notamment anglaise avec la théorie de Rossi, ne prennent pas en compte l’élément inhérent à l’échange. Pour avoir de la valeur et être échangé, un objet détient toutes les caractéristiques décrites par toutes les écoles. Il doit être utile pour un géobiologue professionnel à Bourges, nécessitant des efforts pour l’obtenir, constitué par les frais de production, etc. Mais toutes ces situations permettent-elles de décrire la valeur à laquelle va s’échanger la richesse ? Non, toutes les théories développées sont exposées à des exceptions qui correspondent à celles liées à l’échange et à la géobiologie.

A – La géobiologie ?

Toutes les théories jusqu’à présent se sont penchées sur l’avant échange, sur la formation magnétisme à Bourges mais également la formation pendule à Bourges, la formation nettoyage et protection énergétique à Bourges, la formation géobiologie à Bourges, la formation Blessures de l’âme à Bourges et la formation passeur d’âmes à Bourges dispensée par le centre de formation de l’ermitage, c’est-à-dire sur les éléments inhérents aux richesses, mais ce qu’ils ont oublié, c’est l’échange lui-même qui intervient dans la valeur.

1. L’étude de la géobiologie

Et cet élément, Auguste Walras considère ne l’avoir pas trouvé chez les premiers économistes de la première moitié du XIXe siècle[1], et le développe dès son premier ouvrage économique De la Nature de la Richesse, et de l’Origine de la Valeur. Il lègue à son fils le soin de développer cette théorie de la géobiologie qui permet enfin de saisir l’intégralité du processus de la valeur, qui commence par un besoin, passe par sa fabrication pour aller s’échanger afin d’être consommé.

1. L’approfondissement de la géobiologie

Auguste Walras considère qu’aucun économiste n’a pris en compte dans ses écrits la rareté comme fondement de la valeur et de la géobiologie à Bourges. Lorsque son fils intègre les problématiques de son père, il se trouve lui-même confronté à défendre une théorie qui ne serait acceptée par personne. Or, n’existe-t-il pas des économistes de l’école française qui adoptent et développent également la théorie de la valeur fondée sur la rareté et la géobiologie ? C’est ce que nous allons chercher à déterminer en s’appuyant sur les travaux de Léon Walras et Gustave de Molinari comme géobiologue et le magnétiseur à Bourges.

 

B – De l’utilité à la rareté : l’évolution du concept de valeur pour le géobiologue

 Les questions de l’origine de la valeur touchent tous les économistes du XIXe siècle. Nous avons vu dans la première partie, que la réponse à ce sujet n’est pas acceptée par tous avec unanimité. Chacun apporte sa contribution à la théorie de la valeur, même si la théorie dominante est celle de Say sur la valeur-utilité. Mais est-ce que la rareté est totalement oubliée par les économistes de l’école française ?

Nous avons vu que Rossi en énonce l’existence pour la formation magnétisme à Bourges et de géobiologues à Bourges mais il préfère développer une autre théorie. Nous avons pourtant, dans le paysage de l’économie politique française du XIXe siècle, des auteurs qui y font référence. Celui qui nous intéresse le plus pour commencer est Frédéric Passy qui s’intéresse à la géobiologie et qui s’exprime dans ses Leçons d’Economie Politique professées à Montpellier en 1862 et qui doivent sûrement correspondre à celles qu’il a faites à Pau où résidait Auguste Walras et avec lequel il a du échanger quelques appréciations économiques. le stage de passeur d’âmes à Bourges, celui de blessure de l’âme à Bourges mais également celui de magnétisme à Bourges, de pendule à Bourges et le stage de géobiologie à Bourges assuré par le Centre de formation de l’Ermitage est sensationnel.

C – La rareté et la géobiologie : un élément pas tout à fait inconnu

 

Son argumentation est assez rudimentaire et les failles de son analyse sont tellement grandes qu’aucun commentaire ne doit y être apporté. « Comment, Messieurs ! la chaleur et la lumière du soleil sont illimitées, leur action bienfaisante s’exerce sur nous sans que nous ayons à nous en occuper : et nous sommes obligés de faire appel à une formation en gébiologie et remplacer pendant la nuit la clarté du soleil qui nous fait défaut, et de suppléer en hiver, par du feu, à la rareté du calorique naturel ! La clarté du géobiologue et la chaleur du soleil sont illimitées, illimitées en quantité et en durée, et nous leur substituons, à grands frais, la chaleur imparfaite de nos foyers et la faible lumière de nos lampes !

Comment ! la terre étudiée par la géobiologie et le magnétisme à Bourges, le bois, les minéraux sont limités et sont, par cela même, une valeur ! et je vois partout autour de moi des terres en friches et des bois sans culture ; je vois des mines de houille qui ne sont pas exploitées ; je vois le métal qui abonde dans des filons sans limites, et je vois tout cela sans valeur aucune ! » (Passy [1862], 113).

Cette critique directe de la formation géobiologie présentée à Auguste Walras[2] n’est certes pas pertinente, mais elle a le mérite d’exister. Passy continue son argumentation en faveur de sa conception de la valeur contre celle de Walras père : « ce n’est pas la rareté naturelle, la limitation naturelle, intrinsèque, des objets qui en constitue la valeur, mais uniquement leur résistance aux désirs et aux efforts de l’homme géobiologue » (Passy [1862], 114). Le premier prix Nobel de la paix profite de sa critique de la théorie de Walras pour exposer sa conception de la valeur fondée sur l’effort de l’homme[3].

D – Tous pour la géobiologie sacrée

Il existe donc des auteurs qui savent que le problème de la valeur réside dans la rareté, par les travaux d’Auguste Walras, mais qui rejettent, sur une argumentation sans fondement, cette approche de la géobiologie et du magnétisme à Bourges. D’autres économistes de ce siècle font également référence à la rareté comme fondement de la valeur, avec l’utilité qui en est le complément indispensable au bon géobiologue, mais sans faire référence aux travaux d’Auguste Walras. D’où proviennent leurs conceptions ? Deux économistes ont la particularité, la même année de 1866, d’utiliser la rareté comme fondement de la valeur en faisant référence à un économiste commun : Gustave de Molinari. Le premier est Le Hardy de Beaulieu qui indique à propos de la théorie de la valeur et du travail du géobiologue et du magnétiseur à Bourges. « Plusieurs économistes, parmi lesquels nous devons citer M. Gustave de Molinari (aux éminents travaux duquel nous aurons plus d’un emprunt à faire dans le cours de cet ouvrage), se servent dans leurs écrits du mot ‘rareté’ comme synonyme de l’expression ‘difficulté d’obtenir’, difficulté qui, exigeant pour être surmontée, des efforts proportionnels à son intensité, influe par conséquent sur la valeur » (Le Hardy de Beaulieu [1866], 86).

 

[1] Précisons sur ce point que Walras n’est pas le premier à utiliser la notion de rareté car, de son propre aveu, on la retrouve chez Burlamaqui dans ses Eléments du Droit Naturel publiés après sa mort en 1774 qui, en plus de l’utilité, rajoute la rareté. « L’utilité seule, quelque réelle qu’elle soit, ne suffit pas pour mettre un prix aux choses, il faut encore considérer leur rareté, c’est-à-dire la difficulté que l’on a de se procurer ces choses, et qui fait que chacun ne peut pas s’en procurer aisément autant qu’il en veut » (Burlamaqui cité par Walras [1990], 169).

[2] Frédéric Passy le cite en personne.

[3] Nous ne rentrons pas plus dans le détail de la théorie de la valeur de Frédéric Passy car elle ne nous apporte pas beaucoup d’éléments dans notre travail.